Stanislas

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“Funambule. Les bras écartés, oscillant au gré du vent, magicien sur le fil, poète des hauteurs, mélange d’intrépidité et de candeur.

Pas étonnant que Stanislas ait intitulé son premier album “L’équilibre instable”. Car toute la vie et la carrière déjà bien remplies de ce jeune homme aux allures de dandy romantique, ressemblent à un parcours d’équilibriste. Un balancement entre bohème et tradition, classique et pop, solitude et amour. Avec une constante, inébranlable elle, l’harmonie. L’amour de la musique, jusque dans les dissonances, les remous rythmiques, les fl ux et reflux mélodiques.

Dès la première écoute de la première chanson de l’album de Stanislas, “Le Manège” on est saisi par l’atmosphère unique qui s’en dégage. Des volutes de cordes virevoltantes, le chatoiement d’une harpe en apesanteur, comme un vertige qui fait battre le coeur et tourner la tête. Et par-dessus tout, une voix aux aigus gorgés d’émotion, à la pureté angélique et aux inflexions douces-amères. Pas facile de résumer la complexe personnalité de Stanislas, chanteur, chef d’orchestre, enseignant, compositeur, musicien et arrangeur. Quelqu’un qui peut diriger l’orchestre de l’Opéra de Massy et écrire des arrangements de cordes pour Calogero, Céline Dion, Kool Shen ou Charles Aznavour… Aujourd’hui Stanislas publie donc son premier album de chanteur. Un disque à la densité exceptionnelle, aux arrangements aussi riches qu’aériens, entre cordes, harpes et cors joués par l’Orchestre de l’Opéra de Massy ou le Paris Pop Orchestra, autre création de Stanislas.

“L’équilibre instable” reflète à merveille l’univers de Stanislas. Celui d’un artiste touche-
à-tout mais singulier, obsédé de beauté et d’émotion. Un équilibriste en liberté. Un
funambule.” Philippe Barbot

Posté le 12 décembre 2008