Julien Clerc

« intimes »

Tarifs : 48€
Abonnés & CE 45€

“L’ambiance musicale est un écrin pour la voix. Nous sommes trois sur scène (clavier, guitare, basse) et c’est très intime. Les chansons sont mieux mises en valeur avec leur côté intemporel. Je me recentre sur mon outil vocal comme un artisan, j’essaie de me concentrer
sur l’essentiel : une bonne mélodie, de bonnes paroles et le fait de bien les chanter. C’est ça, finalement,
le métier de chanteur.” Julien Clerc

Julien Clerc grandit à Paris, partagé entre le foyer de son père, amateur de musique classique et de sa mère, adepte de la chanson française. Très vite, il sait qu’il sera musicien et chanteur. Dans les années 60, il fait deux rencontres décisives pour sa carrière : celle de Maurice Vallet, avec qui il écrit ses premiers morceaux, et celle du parolier Etienne Roda-Gil qui l’accompagne durant presque toute sa carrière.

Le premier titre du trio, « La cavalerie », est un immense succès. Avec 18 albums, Julien Clerc en connaîtra beaucoup d’autres. Très vite, le public et la profession sont séduits par ce jeune homme à la voix si particulière. De premières parties de spectacle, il enchaîne avec un premier rôle dans la comédie musicale « Hair », qui lui apporte le triomphe. Durant toute sa carrière, les albums de Julien Clerc sont marqués par les grands événements de sa vie : ses amours, ses rencontres, ses voyages, ses retrouvailles. De « Ce n’est rien » à « Femmes je vous aime », en passant par « Ma préférence »ou « Utile », le chanteur donne à chaque fois au public un morceau de lui-même.

Eternel séducteur, il fait partie de ces chanteurs aimés et écoutés par plusieurs générations.

En octobre 2005, sort « Double enfance », un opus pour lequel
il a écrit la musique et demandé à des auteurs de lui écrire des textes. C’est ainsi que Maxime Leforestier propose le titre qui donne le nom à l’album. Une enfance partagée entre
deux mondes, celui de son père à Bourg-la-Reine et celui de sa mère à Paris. Le divorce de ses parents lui laisse une blessure, une fêlure. Carla Bruni, qui avait déjà travaillé avec Julien Clerc, est rappelée pour trois titres. Une petite touche de Jean-Lou Dabadie

  • « Quel jeu elle joue ? » - et surtout le retour d’Etienne Roda-Gil qui, avant sa mort, a pu écrire « Réfugié » & « Donne moi de tes nouvelles », une chanson sur l’absence. Un album très personnel pour Julien Clerc, qui s’approprie avec talent les mots des autres. La réalisation et les arrangements sont signés Eric Benzi, un proche de Jean-Jacques Goldman, qui a choisi la sobriété et l’élégance.

En 2007, Julien poursuit sa tournée à l’internationale avec plus de 20 dates exceptionnelles : Montréal, Québec, Washington, San Francisco, New-York, Londres, Casablanca, Amsterdam....

Posté le 20 octobre 2007