IL ETAIT UNE FOIS JOE DASSIN

COMEDIE MUSICALE

33,00 € à 51,00 €

IL ETAIT UNE FOIS JOE DASSIN
Comédie musicale

  • le 02/02/2011
  • à 20h30

De son enfance américaine à l’exil européen, de ses débuts difficiles jusqu’aux années de gloire, « Il était une fois Joe Dassin » dressera le portrait en musique d’un des chanteurs populaires les plus secrets de son époque. Il ne s’agit pas d’une comédie musicale au sens propre mais d’un spectacle musical, romanesque et visuel, fondé sur ce qui constitue l’incroyable force de Dassin : ses chansons. C’est pourquoi, ne cherchant ni l’incarnation et encore moins l’imitation, personne ne jouera le rôle de Joe Dassin.

Disposant de toutes les prises de studio originales, et jouant parfois avec la vraie voix de Dassin, nous chercherons avec Raphael Sanchez, le directeur musical (Le Roi Lion), une alternance entre la fidélité aux originaux et des nouvelles versions jubilatoires pour le public. Ainsi, à titre d’exemple, une chanson des débuts comme « Dans la brume du matin » reste incontournable dans sa forme originale – voix, guitare - tandis qu’une mélodie plus connue comme « le dernier slow » sonnera magnifiquement arrangée sous la forme d’un chœur a cappella à huit voix. Et s’il serait absurde de se passer du célèbre solo de saxophone des « Champs-Elysées », nous ne nous priverons pas de redécouvrir « L’Eté Indien » dans une atmosphère plus surprenante. Notre volonté étant d’offrir au public une quarantaine de chansons, certaines seront intégrales, d’autres feront l’objet d’un « medley ». Nous offrirons aussi la possibilité, de temps à autre, d’inviter le public à reprendre ses refrains préférés.

Un dispositif scénographique particulièrement créatif assurera l’expression de différentes atmosphères, pour magnifier les thématiques et emmener le spectateur dans des univers d’où naitront tous types d’émotions. Alain Longchamp (Polnareff, Sanson, Voulzy, Jonasz etc.) concevra les lumières, tandis que Gilles Papain et Jean Rabasse (respectivement video-designer et décorateur du « Cirque du Soleil ») assureront la scénographie et la création d’éléments de décor.

Pour terminer le spectacle, le public découvrira une chanson inédite : « A mon fils », testament prémonitoire et déchirant adressé à ses deux enfants, avant que ne résonnent les célèbres cuivres de « l’Amérique » pour un final des plus brillants.

Qu’est ce qui – trente ans après sa mort – peut encore expliquer l’immense popularité du chanteur ? « Il était une fois Joe Dassin » a l’ambition de répondre à cette question.

Posté le 2 février 2011