THE TOXIC AVENGER + THE SUBS + ARNAUD REBOTINI
Electro

• le Samedi 21 Mai 2011
• à 21h

• THE TOXIC AVENGER (LIVE)
Un passé hip-hop et hardcore, des maxis incontournables et sulfureux, un tube avec Orelsan, une signature sur le label américain Iheartcomix, des remixes pour Late Of The Pier, Chromeo ou Benni Benassi (!), le jeune Parisien avance masqué mais dans de multiples directions qui laissent des traces. Adulé par Lady Gaga, il est pressenti comme The Next Big Thing sur la scène internationale. La faute à une électro tendue et foudroyante, dense et violente, combinant énergie brute et mélodie imparable, qu’il présentera en trio dans une formule live qui s’annonce hautement toxique...

• THE SUBS (LIVE)
Comme les 2 Many’Soulwax, The Subs sont de Gand, comme eux, leur unique but est de retourner le dancefloor ! Leur dance punk décomplexée, hédoniste et jouissive réunit big beat, new wave, transe, indus et disco avec un second degré typiquement flamand. Ces trois excités s’en prennent de manière ironique à une scène techno trop cérébrale, avec un sens de la fête que l’on croyait disparu. Des performances live furieuses : épileptiques et féroces ! Et ce ne sont pas les spectateurs qui ont assisté à leur concert sauvage lors de Scopitone 2010 qui diront le contraire !

• ARNAUD REBOTINI (LIVE)
Bercé par son père sur des sons funk et disco, il se rebelle et forme un groupe de death metal/noise grunge. Alias Zend Avesta, il sort en 2000 “Organique”, un album très remarqué de pop expérimental. Mordu de classique, il travaille aussi pour la GRM, institution consacrée à la musique contemporaine créée par les vétérans innovateurs Pierre Henry et Pierre Schaeffer.
Des artistes tels que Oliver Huntemann, Zen Kei, The Rapture, Depeche Mode, Tiefschwarz... lui ont demandé des remixes. Il sort des disques sur Kling Klong, Goodlife et Dimmer. Rebotini est également le producteur et chanteur de Black Strobe et sort avec ce groupe un premier album résolument électro rock en 2007.
Aujourd’hui, il revient seul aux commandes avec ses machines analogiques et fait totalement abstraction de l’ordinateur, perçu comme une entrave à sa liberté de musicien. L’artiste fait corps avec son instrument : voilà l’image qu’il se fait aujourd’hui du compositeur électronique.

Renseignements
Espace culturel André Malraux
Tél. : 04 94 74 77 79
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