A 10h00 :
Café-Lecture dédicace au Centre culturel de Saint-Raphaël, salle Sirocco avec les auteurs des EAT (Françoise Coudret, Gérard Levoyer, Guy Foissy, Alan Gras, Alexandre Papias et Jean-Marc Verdu).

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A 14h00 :

Pièce "Jean et Béatrice", de Carole Fréchette par le théâtre de l’Aparté à Fréjus.

"Suffirait-il de croire à l’amour pour le faire exister ?
Dans son appartement au trente-troisième étage d’une tour, Béatrice attend l’homme qui la délivrera de sa solitude. Elle fait passer une annonce promettant une récompense substantielle à l’homme qui saura l’intéresser, l’émouvoir et la séduire. Jean, un chasseur de primes expérimenté, se soumet aux trois épreuves par appât du gain. Mais Béatrice hausse les enchères : il s’agit en fait d’inventer l’amour..."

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A 17h30 :

Pièce "La mastication des morts" de Patrick Kerman par la compagnie de la Cordée à Saint-Paul en Forêt.

"Et si les morts prenaient la parole ? Sous les tombes du cimetière de Moret-sur-Raguse, les défunts se refusent au silence. Jeunes et moins jeunes ruminent leurs joies, leurs amours, leurs rancœurs, leurs regrets, leurs tragédies et leurs obsessions parfois peu avouables, souvent drôles...évidemment et heureusement ! Etonnante narration d’une communauté où la singularité de chacun fait résonner en nous ces vivants d’un autre monde. Un monde proche du nôtre, celui de la vie, bien sûr !
Avec une lucidité implacable, Patrick Kermann, auteur français laisse entendre une multitude de voix... d’outre-tombe, d’outre-vie".

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A 21h00 :

Pièce "Les Petites gens" de Jean Grumberg et W. Shakespeare par la compagnie Les Gobelunes à Vesseaux.

Spectacle suivi d’un buffet avec rencontre en compagnie d’auteurs.
La pièce “Les petites gens” est un montage de textes courts de Jean Claude Grumberg (issus de son recueil “Les courtes”) et d’un extrait du “Songe d’une nuit d’été” deShakespeare.
Grumberg nous dépeint des gens simples, ordinaires ; monsieur et madame Toutlemonde, et nous les montre en proie à la peur de l’autre, à l’inquiétude, voire au refus face à la différence. Comme à son habitude, il met en scène des sentiments xénophobes et racistes mais avec talent et drôlerie. Shakespeare, dans le Songe d’une nuit d’été, dépeint de petits artisans désireux de monter un spectacle - sans rien savoir du théâtre - avec leurs moyens propres, pour honorer et divertir leur prince qui marie son enfant.
Les scènes des artisans viennent donc comme des respirations pour reposer le spectateur entre deux épisodes au fond plus grave...